Aller dans ce topic je vous présente quelques répliques de dialogues écrites bien sûr par moi-même.
Je vous invite à faire de même et à critiquer celles des autres.
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Entré fracassante dans la cuisine. Il s’essuie le visage avec un petit torchon provenant de sa poche. Vini se trouve attablé entrain de beurrer une tartine.
JACKY – Ecoute Vini, je ne peux plus continuer. Regarde moi merde ! Les bleus sont après moi, ils veulent me cloîtrer.
Reprend son souffle et tout bas
Et l’autre catin qui nous à balancer, à croire que la loyauté c’est comme les femmes, sa se barre quand les problèmes arrivent.
Laissant tomber sa tartine dans le café
VINI - Comment ça !, ce levant subitement – Attends, il faut que…, tournant en rond, se calment peu à peu – j’aurais jamais crus sa de lui possible, et dire qu’il y a vingt ans, il aurait été capable de se jeter à travers les barreaux pour ma pommes, décidément ça ne serait jamais arrivé dans la cours de récré.Moment de silence puis reprenant – Mais attend un accident c’est si vite arrivé, une bougie trop près des rideaux, les freins c’est très fragile, il faut en prendre soins, j vais lui délivrais son assurance après vie sans tarder, il va moins baver l’asticot quand il se retrouvera six pieds sous terre.
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VINI – Il est temps de faire la lessive par ici, ça pue la saleté autour de moi. Trop d’linges salles se sont pris pour des chemises VERSACE. Appel moi la ménagère, il est temps de se séparer des nuisibles, trop de tâches ont prit place sur le textile. Dorénavant, il faudra retirer un ticket chez le teinturier VINI, et avec moi, ne vous attendez à aucun prix.
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Vini – Tu sais mon père est revenu le sourire au coin de l’œil de la première guerre, mais à la second, c’est ma mère les larmes à l’œil qui portait son cercueil, le deuil fut si terrible pour elle, qu’elle se tira révérence sur le seuil de ma porte. Je suis un orphelin de guerre, perdu un parent par sa violence et l’autre par sa dure réalité.
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Le philosophe – te prend tu pour Jésus Vini ?
VINI – Non, je en serrais me rabaisser à ce point. Tu me prends vraiment pour un prêcheur hein. Moi je ne demande pas qu’on me croit sur parole, moi les infidèles l’ont compris, la preuve, ils ont maintenant toute l’éternité pour y réfléchir…
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Père Simon – Vas y mon fils, confesse toi.
VINI – Bien voilà mon père, j’ai pêché. Mais pardonnez moi mon père, je ne puis m’en empêcher. Depuis tout petit je baigne dans la friture, je ne peux pas me repentir mon père, c’est un vice, j’en suis boulimique. Je suis attentif à vos prières mon père, et à celui de Dieu bien sûr, mais attend il les miennes quand j’ai faim.